Les aventure de Robin des Bois (The Adventures of Robin Hood). 1938. Réalisation de Michael Curtiz. Distribution: Errol Flyn, Olivia de Havilland, Basil Rathbone, Claude Rains . Warner Bros. France. Technicolor. 102 min. 

En l'an 1191, le roi Richard Cœur de Lion, parti en croisade, a été fait prisonnier avec demande de rançon. Mais à la cour de Nottingham, son frère, le prince Jean, veut garder le pouvoir avec la complicité du seigneur Guy de Gisbourne. Robin de Locksley, archer de grande valeur, refuse de reconnaître l'autorité de l'usurpateur. Recherché activement, il se réfugie dans la forêt de Sherwood avec quelques compagnons, dont Petit-Jean, Willy l'Écarlate et Frère Tuck. Ensemble, ils organisent la résistance…

Les Dix Commandements (The Ten Commandments). 1954. Réalisation de Cécile B. de Mille. Distribution : Charltion Heston, Yul Brynner, Edward G. Robinson, Anne Baxter, Vicent Price. Paramount Pictures. Technicolor. 222 min. 

Les Dix commandements, le chef-d'œuvre de Cecil B. DeMille, raconte la destinée de Moïse (Charlton Heston), qui s’insurgea contre Ramsès II (Yul Brynner) et libéra le peuple juif de l’esclavage, telle qu'elle est racontée par l'Ancien Testament… Distribution prestigieuse, figurants innombrables, décors grandioses et trucages sidérants pour l’époque (les dix plaies qui s’abattent sur l’Égypte, l’ouverture de la mer Rouge devant les Hébreux) : cette épopée biblique au budget pharaonique pour l'époque est un spectacle hollywoodien 

Le coup de ♥  du rédacteur en chef :

Un film magistral dans une très grande réalisation du grand Cécile B. De Mille ! Un grand classique à voir et à avoir dans sa filmothèque pour tout cinéphile ! 

Sans San,

Quai des brumes. 1938. Réalisation de Marcel Carné. Scénario de Jacques Prévert. Distribution : Jean Gabin, Michèle Morgan, Michel Simon, Pierre Brasseur, Aimos. Société les Films Osso (Paris). NB. 91 min. 

La rencontre entre Jean (Jean Gabin) déserteur de l'armé coloniale arrivant au Havre pour embarquer au Vénézuela et la Belle Nelly (Michèle Morgan) qui chercher à échapper de l'emprise de son tuteur Zobel, un malfrat notoire qui s'est débarassé de son amant. 

Chantons sous la pluie (Singin'in the rain). 1951. Réalisation de Stanley Donen. Distribution : Gene Kelly, Debbie Reynolds, Cyd Charisse, Donald O'Connord. Etat-Unis. MGM-Metro-Goldwyn-Meyer. Technicolor, 103 min.

1927, dans les studios de la Monumental Pictures à Hollywood. Don Lockwood et Lina Lamont forment le couple phare du cinéma muet. Adulés par le public, perpétuellement amoureux à l'écran, ils ne peuvent en réalité pas se souffrir. L'arrivée du cinéma parlant provoque un drame. Car, malgré son port de reine, Lina a une voix de crécelle. Alors que la production donne son feu vert pour une comédie musicale, Cosmo, inséparable compagnon de Don, propose que Kathy, une jeune danseuse à la voix mélodieuse, soit la doublure de Lina…t amoureux à l'écran, ils ne peuvent en réalité pas se souffrir. L'arrivée du cinéma parlant provoque un drame. Car, malgré son port de reine, Lina a une voix de crécelle. Alors que la production donne son feu vert pour une comédie musicale, Cosmo, inséparable compagnon de Don, propose que Kathy, une jeune danseuse à la voix mélodieuse, soit la doublure de Lina… (Source : arte.tv)

Le Dernier métro. 1980. Réalisation de François Truffaut. Distribution : Catherine Deneuve, Gérard Depardieu, Jean Poiret, Andréa Ferreol. France. Gaumont Distribution. Couleur, 128 min.  

Alors que les Allemands occupent la moitié de la France, Marion Steiner ne pense qu'aux répétitions de la pièce qu'elle doit monter au théâtre Montmartre dont elle assure la direction depuis que son mari, Lucas, juif allemand, s'est enfui de Paris. En réalité, Lucas s'est réfugié dans les sous-sols du bâtiment. Chaque soir, Marion vient lui rendre visite et commente avec lui le travail des comédiens et notamment celui du nouveau jeune premier de la troupe, Bernard Granger.  Source : Les Fiches du Cinéma

Quinze jours ailleurs [Two Weeks in Another Town]. 1961. Réalisation de Vincente Minnelli. Distribution : Kirk Douglas, Cyd Charisse, Eward G.Robinson. Etats-Unis. MGM. Couleur, 107 min.

Après divers déboires, sentimentaux et professionnels, suivis de six ans en clinique psychiatrique, Jack Andrus est rappelé à Rome pour un tournage durant quinze jours. Jack ne se voit confier que la post-synchronisation, mais quand Kruger, le metteur en scène, tombe malade, il prend sa place. Son travail et les corrections qu'il apporte sont de qualité. Maurice Kruger estime alors que Jack l'a trahi. De plus, sur le plateau Jack retrouve son ex-femme, Carlotta, qui lui fera des avances pour ensuite le bafouer. Enfin, il tombe amoureux de Véronica, la maîtresse d'un jeune premier, qui jaloux, veut le tuer. Après une tentative de suicide, Jack retourne à Hollywood pour tenter une nouvelle carrière.

Casablanca. 1942. Réalisation de Michael Curtiz. Distribution : Humphrey Bogart, Ingrid Bergman, Paul Henreid, Claude Rains, Marcel Dalio. Etas-Unis. Warner Bross. NB, 99 min.

Un tableau, dessiné par les Américains, de la vie à Casablanca au moment où sévissaient les commissions allemandes d'armistice. On y voit des réfugiés de toutes nationalités prêts à tout pour obtenir le passeport qui leur permettra de se rendra au Portugal et, de là, en Amérique. Un déporté tchèque qui s'est évadé d'Allemagne est rejoint par sa femme qui a été l'ami d'un aventurier, Rich, pendant l'internement de son mari. Rich, qui tient la plus grosse boîte de nuit de Casa, dispose de deux visas qu'il a pris à des Allemands assassinés. Après bien des tergiversations, Rich donnera les deux pièces à son ex-maîtresse et à son mari.
Source :  Les fiches du cinéma 2003

Vincent, François, Paul et les autres. 1974. Réalisation de Claude Sautet. Distribution : Yves Montand, Serge Reggiani, Michel Piccoli, Gérard Depardieu, Stéphane Audran . France-Italie. Les acacias. Couleur, 118 min.

 La vie d'un petit groupe de bons amis: Vincent (directeur d'entreprise), François (médecin), Paul (écrivain) et les autres, Jean, mécanicien apprenti-boxeur, et puis leurs femmes. Tous se retrouvent le dimanche à la campagne, mais ne s'ignorent pas durant la semaine. Vincent, quitté par sa femme Catherine, abandonné par la jeune Marie, doit vendre son entreprise. Il ne réussit pas à reconquérir Catherine; pendant ce temps, François, dévoré d'ambition, néglige sa femme Lucie qui finit, après maintes aventures, par s'enticher de Jacques, un ami italien.

Spartacus. 1960. Réalisation de Stanley Kubrick. Distribution : Kirk Douglas, Charles Laughton, Tony Curtis, Peter Ustinov . Etats-Unis. Swashbuckler Films. Techicolor, 190 min.

Spartacus est fils d'esclave, né en esclavage, mais sa noblesse naturelle l'a toujours empêché de consentir à l'avilissement général. Il est, à cause de sa prestance, requis malgré lui pour l'école des gladiateurs où, pendant de longs mois, on apprend aux hommes ainsi assujettis à combattre et à mourir pour le divertissement de ceux qui se disent libres. Spartacus, dans sa prison, a rencontré la belle esclave Varinia et il l'a respectée, alors qu'elle lui avait été odieusement octroyée en récompense. Un grand amour - irréalisable puisque l'un et l'autre dépendent du bon plaisir de leurs maîtres - est né entre ces deux êtres. Cet amour est pour Spartacus un motif supplémentaire de désirer la liberté.