Mondes imaginaires (Fantastiques, SF...)
La trilogie Jurassic World III
Jurassic World : Le monde d'après (Jurasic World Dominion). 2022. Réalisation de Colin Trevollow. Distribution : Chris Pratt, Bryce Dallas Howard, Sam Neill, Laura Dern, Jeff Goldblum. Etats-Unis. Distribution : Universal Pictures. Couleur. 146 minutes
Les dinosaures partagent désormais le même monde que les humains ; ce qui ne va pas sans quelques frictions. Owen et Claire se sont eux retirés das une cabane dans les bois pour y élever, y protéger et un peu séquestrer Maisie, leur fille adoptive. Lorsque celle-ci est kidnappée en même temps que le bébé de la vélociraptor Blue, le couple n’hésite pas à se lancer à sa rescousse, plongeant dans une aventure où ils croisent des braconniers internationaux et une multinationale aux intentions troubles. Sur laquelle d’ailleurs enquêtent de leur côté les professeur Grant et Sattler et où ils retrouvent Ian Malcom.
La trilogie Jurassic World II
Jurassic World : Fallen Kingdom ( 2018). Réalisation de Juan Antonio Bayona. Distribution: Chris Pratt, Bryce Dallas Howard, Rafe Spall, Toby Jones et Jeff Goldblum. Etats-Unis. Universal Pictures. Couleur. 128 min.
Trois ans après le désastre du parc, Claire Dearing, qui s’occupe d’une association pour la protection des dinosaures, est contactée par un ancien associé de John Hammond pour participer, avec Owen Granger, à une opération de sauvetage car Isla Nublar va être détruite par une éruption volcanique, et amener les espèces sauvées dans un sanctuaire. Sauf que l’opération ne se déroule pas du tout comme prévu. Trahis, Claire et Owen se trouvent opposés à des personnes sans scrupules.
La trilogie Jurassic World I
Jurassic World (2015). Réalisation de Colin Trevorrow. Distribution : Bryce Dallas Howard, Chris Pratt, Vincent D’Onofrio, Omar Sy, Irfan Khan, D.B. Wong, Judy Greer. Etats-Unis. Universal Pictures. Couleur. 124 min.
Grâce à un mécène, le parc d’attraction « Jurassic World » a pu ouvrir sous la direction de Claire Dearing, totalement dévouée à son travail et désireuse de trouver de nouvelles attractions pour plaire au public. C’est ainsi que les scientifiques ont mis au point un dinosaure hybride au nom sympathique d’Indominus Rex. Prise par son travail, Claire n’a pas le temps de s’occuper de ses neveux venus visiter le parc. Mais voilà que l’Indominus s’échappe et sème la terreur.
Jason Statham contre le requin géant
En eaux troubles (The Meg). 2018. Réalisation de Jon Turtletaub. Distribution : Jason Statham, Li Bingbing, Ruby Rose, Rainn Wilson, Cliff Curtis. États-Unis. Warner Bros. 113 min.
Jonas Taylor est un plongeur spécialisé dans les eaux profondes. Recruté pour sauver une équipe scientifique coincée dans un sous-marin, il va devoir affronter un « fossile vivant » échappé des fonds des mers pour éviter un carnage.
Invasion Los Angeles
Invasion Los Angeles (They Live). 1988. Réalisation de John Carpenter. Distribution : Roddy Piper, Ke ith Davis, Meg Foster, Raymond St.Jacques . Distributeur : Universal Pictures. Couleur. 94 min.
Coup de ♥ du rédacteur
À Los Angeles, un ouvrier découvre par hasard une paire de lunettes noires qui permet de voir la réalité cachée de la société américaine : des extraterrestres ont pris le contrôle de l’économie, de la police, des médias et exploitent les ressources du pays. (Source arte.tv)
Vincent n’a pas d’écailles
Vincent n’a pas d’écailles. 2014. Réalisé par Thomas Salvador, scénario de Thomas Bidegain, Thomas Cheysson et Thomas Salvador. Avec Thomas Salvador (Vincent), Vimela Pons (Lucie), Youssef Hadji (Driss), Nicolas Jaillet (Lieutenant Le Brec), Nina Meurisse (l’ami de Lucie). France. Le Pacte. Couleurs. 78 minutes.
Vincent a un pouvoir extraordinaire : sa force et ses réflexes décuplent au contact de l’eau. Pour vivre pleinement ce don, il s’installe dans une région riche en lacs et rivières, et suffisamment isolée pour préserver sa tranquillité. Lors d’une escapade aquatique, il est surpris par Lucie dont il tombe amoureux.
Soleil vert
Soleil Vert [Soylent Green]. 1973. Réalisation de Richard Fleischer. Distribution :Charlton Heston, Edward G. Robinson, Leigh Taylor-Young, Joseph Cotten. Etats-Unis. MGM. Couleur, 97 min.
En 2022, les hommes ont épuisé les ressources naturelles. Seuls les aliments de synthèse parviennent à nourrir une population miséreuse. Omniprésente et terriblement répressive, la police assure l'ordre. Un policier va découvrir, au péril de sa vie,
Source : première.fr
Fahrenheit 451
Fahrenheit 451. 1966. Réalisation de François Truffaut. Distribution : Oskar Werner, Julie Christie, Cyril Cusack, Anton Diffring . Grande Bretagne. Diaphana pour MK2. Techicolor, 112 min.
Une très bonne interprétation du roman du même titre paru en 1953 du regretté Ray Bradbury. Malgrè quelques libérté d'adaptation, le film reste fidèle au roman. Un film qui dénonce les dangers d'une société totalitaire ou la censure et la pensé unique sont de vigeur. Oskar Werner et Julie Christie qui joue les deux rôles de femmes principales sont de très bon choix ! Un classique à voir et à revoir !
La malédiction des Pharaons
La malédiction des Pharaons (The Mummy). 1959. Réalisation de Terence Fisher. Distribution : Peter Cushing, Christopher Lee, Yvonne Furneaux, Edie Byrne, Félix Aylmer, Raymond Huntley, George Pastell. . Royaume-Unis. Paramount. Couleur, 88 min.
A la fin du XIXème siècle, trois archéologues anglais découvrent en Égypte le tombeau d’une grande prêtresse, Ananka. Malgré les mises en garde d’un mystérieux Égyptien, ils entrent dans le tombeau. L’un d’entre eux va devenir brusquement fou puis périr assassiné. La malédiction est en marche !
Un chef-d’œuvre de l’époque inventive de la Hammer. Il règne une énergie qui transcende le manque de moyens. Histoire solide, rythmée, monte progressivement en tension pour finir en apothéose.
Le cauchemar de Dracula
Le cauchemar de Dracula [Dracula]. 1958. Réalisation de Terence Fisher. Distribution : Peter Cushing, Christopher Lee, Michael Gough, Melissa Stribling. Grande-Bretagne. Seven-Arts. Couleur, 78 min.
Engagé comme bibliothécaire par le comte Dracula, Jonathan Harker découvre la véritable nature de son hôte qui s’intéresse à sa fiancée mais doit affronter le docteur Van Helsing.
C’est un film d’horreur soigné et qui frappe par sa puissance visuelle et musicale. Le film est rythmé, plutôt court (1H18). Une première partie chez le comte. Une seconde où Van Helsing essaie de sauver Lucy. Une troisième où Van Helsing et Arthur Holmwood combattent Dracula. En 1958, le carcan victorien pesait encore lourd et la Hammer a fait son beurre en montrant violence et érotisme.
Frankenstein s'est échappé
Frankenstein s'est échappé [The Curse of Frankenstein]. 1957. Réalisation de Terence Fisher. Distribution : Peter Cushing, Christopher Lee, Robert Urquhart, Hazel Court. Grande-Bretagne. Hammer Film Productions. Couleur, 83 min.
Persuadé qu’il peut vaincre la mort, le baron Victor Frankenstein entreprend de créer un être parfait.
Notre avis:
Avec ce film, variation sur le roman, la Hammer pose les bases du style qui sera le sien durant plus d’une décennie. Le film, construit en flash-back, raconte les recherches de Frankenstein pour créer un « être parfait » et qui ne reculera devant rien. Peter Cushing accroche d’entrée. Son visage reflète une concentration inquiétante et pourtant il parle et agit comme si tout était normal et c’est terrifiant.
Lorsqu’apparaît la Créature, c’est une horreur sans nom ! Christopher Lee n’a aucun texte mais il dégage une aura d’étrangeté dérangeante par ses gestes de pantin désarticulé. A la fin, Frankenstein explique qu’il doit « améliorer » sa créature. On comprend qu’il est engagé dans une aventure sans fin. Pour le coup, le spectateur est pris entre la fascination et l’horreur devant Frankenstein.
Sleepy Hollow, la légende du cavalier sans tête
Sleepy Hollow, la légende du cavalier sans tête [Sleepy Hollow], 1999. Réalisation de Tim Burton. Distribution : Johnny Deep, Christina Ricci, Michael Gambon, Casper Van Diem. Christopher Lee, Chistopher Walken. Etats-Unis. Pathé Distribution. Couleur, 105 min.
En 1799, l’inspecteur Ichabod Crane, doit élucider des meurtres étranges à Sleepy Hollow. Sauf que le coupable est un cavalier sans tête mort depuis vingt ans !
Ce chef-d’œuvre, hommage à la Hammer, est inspiré du folklore américain et des contes de fées. Il oppose rationalisme et fantastique. Il vise à accepter l’inexpliqué. Il est intéressant que l’histoire soit située en 1799 car elle n’appartient pas au XIXème, le siècle du progrès scientifique. C’est comme s’il fallait accepter ce passé pour pouvoir avancer. Sleepy Hollow est un film psychanalytique explorant l’inconscient collectif de l’Amérique.