Actrice britannique, Audrey Ruston (qui prit le nom de « Hepburn » après la guerre) est née à Bruxelles le 4 mai 1929, elle se destinait d’abord à la danse mais le succès de « Gigi » à Broadway en 1951 l’amène vers le cinéma. En 1954, elle décroche l’Oscar de la meilleure actrice pour « Vacances romaines ». Elle va beaucoup jouer les ingénues avec des partenaires masculins plus âgés comme Humphrey Bogart (Sabrina, 1954), Gary Cooper (Arianne, 1957) ou Cary Grant (Charade, 1963). Très douée pour la comédie, elle chante et danse dans Drôle de frimousse (1957), se demande avec Peter O’Toole « Comment voler un million de dollar ? » (1967). Elle tourna également dans un western (Le vent de la pleine, 1960) ou dans un drame (La rumeur, 1961).

L’expression « monstre sacré » est quelque peu galvaudée mais elle lui va bien. Surtout, c’était un acteur populaire au bon sens du terme. Né le 9 avril 1933, peu enclin aux études, indiscipliné, il se passionné pour la boxe avant de devenir comédien. Il débute au théâtre en 1950 et intègre le Conservatoire national d’art dramatique (1952-1956). Sa carrière cinématographique commence discrètement avec Sois-belle et tais-toi (1958). Il est un temps associé à la Nouvelle Vague. Les années 60 seront un tremplin pour accéder au vedettariat : Moderato Cantabile (1960), Léon Morin, prêtre (1961), Cartouche (1962), L’homme de Rio (1963), Cent mille dollars au soleil (1964), Les Tribulations d’un Chinois en Chine (1965), Pierrot le fou (1965), Le Cerveau (1969). La décennie suivante confirme son statut de vedette : Borsalino (1970), Le Magnifique (1973) mais l’échec relatif de Stavisky (1974) l’oriente vers le cinéma de divertissement où il fait merveille.

Fils de Pierre Espinasse dit Pierre Brasseur comédien, père d'Alexandre Espinasse dit Alexandre Brasseur comédien, Claude Espinasse dit Claude Brasseur, né le 15 juin 1936, lui-même comédien, avait intitulé ses mémoires "Merci ǃ : Père et fils, maison fondée en 1820" (Flammarion) car il était fier de ses origines et de sa lignée. Les fées étaient penchées sur son berceau puisque son parrain était l'écrivain Ernest Hemingway. Avec Alexandre, il joua au théâtre (sa grande passion) une pièce de Sacha Guitry (autre fils de !) intitulé "Mon père avait raison" (2007).

Parmi les acteurs les plus talentueux de sa génération Johnny Deep occupe une très bonne place sur le podium, méconnaissable d’un film à l’autre il incarne des personnages hauts en couleurs avec des personnalités bien différentes dans des rôles emblématiques tel Jack Sparrow dans la saga Pirates des caraïbes (2003-2017), Willy Wonka (Charlie et la Chocolaterie), Edward (Edward aux mains d’argent) ou encore Gellert Grindelwald Les animaux fantastiques Les Animaux fantastiques : les crimes de Grindelwald (2018). Actuellement retiré du cinéma pour une durée indéterminée son absence nous manque et on espère son retour sur grand écran un jour !

Parmi les figures des grandes figures qui firent la renommé du cinéma Hollywoodien, Kirk Douglas qui nous a quitté cette année et l'un des plus connus.

Ses rôles les plus mémorables tel Spartacus (1960) de Stanley Kubrick, le capitaine Nemo dans l’adaptation du roman de Jules Verne 2000 Lieus sous les mers du grand Richard Fleicher (1955) ou encore Ignard dans Les Vikings de Richard Fleicher (1958).

Un petit retour sur la très longue carrière de ce monstre du cinéma américain s'impose.

Parmi les plus grand acteurs Français, Louis de Funès est sans doute le plus apprécié du grand public et de toutes les générations. A chaque rediffusion à la télé le film avec Louis de Funès est plébiscité montrant bien qu'il incarne un comique qui ne prends pas de ride malgré les années qui le sépare des téléspectateurs.  Quelques éclairages sur sa vie de ce géant du cinéma nous paraissent nécessaires.

Elle gagna ce surnom pour avoir joué dans un nombre certain de comédies sentimentales dont elle est une des reines. C’est son rôle dans « Speed » (1994) qui la révèle et en fait une star. Elle ne quittera plus le haut de l’affiche. Parmi ses succès, plusieurs comédies sentimentales donc (Le temps d’aimer, 1996) ou comédies tout court (« Miss Détective », 2000) mais son registre est beaucoup plus large.